Notre pays fait face à une épidémie grandissante et la prévention reste le premier moyen de lutte. Des cas impliqués à la contamination de contact, la transmission communautaire, annoncent inexorablement par une épidémie incontrôlable de COVID-19.
Par la sensibilisation, par les médias à grande audience et les radios communautaires, la population se rend subitement compte de la menace du COVID-19, dont la seule arme est la prévention. Ce qui se passe aujourd’hui en Italie, en Espagne, en France et partout ailleurs sur le vieux continent, en Asie, en Amérique et en Afrique, le village planétaire montre chaque jour un peu plus son impuissance à arrêter un petit virus qui ébranle beaucoup de certitudes... Il est évident que l’on se dirige vers des mutations profondes de nos modes de vies et de perception du Monde
Dès l’apparition de la toux, la fièvre, les maux de tête et difficultés respiratoires, il est recommandé d’appeler le médecin et d’éviter le contact avec d’autres personnes surtout les enfants, nourrissons, femmes enceintes et personnes âgées et/ou malades. Pour, limiter les risques de propagation, il faut s’habituer au lavage à outrance des mains et éviter dans les salutations (le serrage de mains, bises et étreintes...) et respecter les nouvelles règles de distance sociale.
Ces précautions prises, il faut être informé de la situation de la pandémie avec les dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l’OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
L’information officielle proposée à la population doit être inclusive, large et simple pour décrocher l’adhésion de la population et des couches les plus vulnérables de la société.
La situation du Sénégal face au cataclysme du coronavirus montre à suffisance que les risques encourus dépassent le cadre clinique et médical. La crise est sanitaire, sociale et économique parce qu’elle ébranle les équilibres déjà fragiles de l’économie mondialisée.
Toutes forces vives de la nation, avec le leadership du président de la République, le Gouvernement, les chambres des élus du peuple, le monde du travail, les acteurs socioprofessionnels et tous les acteurs en charge de la sécurité civile et de la défense doivent être mieux impliqués, et présents lors des points de presse/informations/communications des autorités de santé publique nationales et locales